Toulouse-Lautrec et Pierre Bonnard firent pour la Revue Blanche des illustrations de grande qualité. La revue le méritait : d'orientation anarchiste, elle fera collaborer peintres (Signac, Toulouse-Lautrec, Vuillard…) et écrivains (Proust, Verlaine, Gide…) de prestige devenant ainsi une extraordinaire plateforme de l'intelligentsia de la Belle Époque.