Résumé
Récit historique autour des frasques amoureuses de Napoléon Ier et de la famille impériale réputés pour leur solide appétit sexuel.
Quatrième de couverture
Officier à seize ans, général à vingt-cinq, consul à trente, empereur à trente-cinq, Napoléon a réformé en profondeur la société française et fait main basse sur l'Europe. Ce bourreau de travail, cette mécanique intellectuelle toujours en mouvement, n'en était pas moins homme, sujet de sentiments et de désirs. Bonaparte aimait les femmes. Si ses deux épouses, Joséphine et Marie-Louise, lui inspirèrent d'authentiques passions, des dizaines de maîtresses partagèrent sa couche, lui donnant deux enfants naturels, le comte Léon et Alexandre Walewski. Sans compter les rencontres d'un soir... L'amant insatiable devait aussi tenir les rênes d'une famille bien agitée. Sa propre mère, Letizia, aurait fauté avec Charles-Louis de Marbeuf dont l'Empereur se demande s'il est le fils. Ses sept frères et soeurs étaient tous dotés d'un solide appétit sexuel. De Pauline, on parlait comme d'une «gloutonne de plaisirs». La reine Hortense, fille de Joséphine de Beauharnais, maltraitée par son mari Louis Bonaparte maladivement jaloux, aimait à se consoler dans d'autres bras. Son troisième fils deviendra Napoléon III, et son quatrième, illégitime et longtemps caché, sera le duc de Morny. Quelle influence ces frasques et ces amours, parfois peu avouables, eurent-elles sur les choix et le destin de leur frère ? Avec cette fresque familiale, c'est toute l'épopée napoléonienne qui défile, à la fois tragique et cocasse, et éminemment romanesque