Résumé
Six ans après«J'aime pas la chanson française», le dessinateur poursuit sa critique du répertoire français et de ses interprètes à travers des bandes dessinées et dessins satiriques.
Quatrième de couverture
Six ans après la publication de J'aime pas la chanson française, Luz ne s'est toujours pas converti aux suaves mélopées de Delerm, -M-, Bénabar, Biolay, Cali, Camille et consorts. Pire : traître à sa patrie musicale, il persévère à se gausser de ce qui fait la grandeur de la France, tel un rustre Finlandais refusant one point à notre digne représentante à l'Eurovision. Et les nouvelles recrues, Zaz, Jérôme, Oxmo Puccino, M. Pokora ? Il les jette dans le même sac. Un sac où l'on retrouve aussi The Voice, Amadou et Mariam et Cantat, Cabrel, Vanessa Paradis, la troupe des Enfoirés au complet, etc. - la liste est si longue... Un sac qu'il secoue comme des maracas et jette en pâture aux lecteurs dans ce pamphlet hilarant. Seul Philippe Katerine échappe à ce concert de railleries. Exception confirmant la bien triste règle. Luz, c'est définitif, n'aime vraiment pas la chanson française. Un peu comme tout le monde, au fond. Mais en pire. J'aime pas la chanson française (Hoëbecke, 2007) dans la presse « Luz n'a pas seulement des moustaches au nez. Il a aussi de la suite dans les idées. {...} Luz s'autoproclame vengeur (non) masqué, envoyé spécial sur le front d'un étrange et persistant consensus : celui qui règne autour de la chanson française. » Libération « En quelques planches assassines, ce dessinateur vous empêchera désormais d'écouter sérieusement les tenants de la nouvelle chanson française. » Le Point « C'est l'album le plus bête et méchant de la saison. {...} Après ça, vous ne verrez plus jamais Biolay, Obispo, -M- et Les Enfoirés du même oeil. » Le Nouvel Observateur