Partant du constat que toute histoire, comprise en termes de passage à la modernité ou comme développement du capitalisme, se réfère toujours au berceau de cette prétendue modernité et de la discipline historique, l'auteur soutient que celle-ci, quand bien même elle épouserait des vues nationalistes et anti-impérialistes, est toujours celle d'un sujet second, fantôme, l'Europe.